Ayant une carrière professionnelle de plus de 30 ans dans différents secteurs d’activités, et à différents niveaux, diplômée Assistante en psychologie (psychologie du travail) depuis 2007,  je suis passionnée par les relations humaines et l’évolution de l’être dans son environnement

Je suis spécialisée dans l’insertion professionnelle. Formée et expérimentée dans la gestion des conflits interpersonnels, cela fera la différence dans mon approche orientée solution.  En effet, le relationnel n'est pas opposé à une approche orientée solution ! Au contraire.

Bien-être au travail: comment gérer le stress au quotidien?

J'accompagne vers le succès, l'épanouissement professionnel.

"Le succès n’est pas la clé du bonheur. Le bonheur est la clé du succès. Si vous aimez ce que vous faites, vous réussirez." Albert Schweitzer. Une évolution professionnelle, quelle qu’elle soit, nous confronte à nos résistances et celles de notre entourage.

Je propose une demi-heure d’entretien gratuit afin de faire connaissance et de poser les premiers jalons.

Faire ce qu on aime

Vous avez plus de 50 ans ? Quid de votre carrière ?

Mentor

J’entends des réflexions telles que : « C’est trop tard pour penser en termes de carrière ! », « Je suis trop vieux, qui voudrait de moi ? ». Etc.

Même au niveau du non-verbal, c’est criant !

Non ! La vie professionnelle n’est pas terminée, et aujourd’hui même si tout semble être en crise, nous avons besoin plus que jamais de personnes qualifiées et expérimentées pour les jeunes dans les entreprises. Car là aussi, j’entends : « Oulala, qu’est-ce qu’ils nous ont fabriqué ces jeunes-là !!! »,« Ça va pas du tout, ils réinventent la roue ! »,« Ils croient tout savoir ! », etc.

Quelques pistes pour répondre à ces constats : évoluer et devenir chef d’une équipe, devenir tuteur ou mentor, etc.

Cependant, cela demande des compétences spécifiques.
La bonne nouvelle, c’est qu’elles peuvent s’acquérir !

Burnout

⚡ Le burnout ? Ce n’est pas (seulement) la charge de travail. C’est surtout les relations.

90 % des personnes que j’accompagne en burn-out me parlent d’abord :
- d’un supérieur qui les infantilise
- d’un collègue qui sape leur énergie
- d’un silence qu’elles n’osent jamais briser

Le corps finit par lâcher quand vous passez 40 h/semaine dans un environnement où vous ne vous sentez ni respecté(e) ni en sécurité émotionnelle.

En séance, je pose ces 3 questions (elles font souvent tout basculer) :
- Quand vous pensez à votre lieu de travail, quelle personne vous vient immédiatement à l’esprit… et quelle émotion ressentez-vous aussitôt ?
- Depuis combien de temps n’avez-vous plus osé dire « non » ?
- Si cette personne disparaissait demain de votre quotidien professionnel… respireriez-vous mieux ?

✔️ Si vous répondez « oui » à au moins une de ces questions, votre épuisement n’est pas uniquement lié à votre planning. Il est d’abord lié à des limites jamais posées et à des relations qui vous vident.

✨ La bonne nouvelle ? Cela se travaille et se transforme rapidement.

En quelques séances, mes clients apprennent à poser leurs limites avec calme, à transformer ou à sortir des relations négatives, et à retrouver de l’énergie – même quand la charge de travail reste élevée.

Vous n’êtes pas obligé(e) de tout quitter pour vous sentir vivant(e) au travail.

Des tests de personnalité, et après ?

Bien que les tests puissent donner une photo dans un temps T d’un point vue X, dans un contexte Y, cela peut néanmoins nous aider à nous situer dans ce que l’on peut appeler la « moyenne ». Les résultats peuvent parfois surprendre, ou nous conforter. Tant que le résultat peut engendrer une réflexion et un positionnement, l’objectif est rempli pour un chercheur d’emploi. En effet, s’ il y a des zones aveugles, des choses que nous ne savons pas de nous-mêmes, un test, s’il est bien fait, peut les révéler. Tenons compte que le résultat est réalisé à un temps T, l’évolution permet d’autres résultats dans un autre contexte, après d’autres vécus.

Que pouvons-nous faire des résultats des tests ?

« Ce qu’on ne veut pas savoir de soi-même finit par arriver de l’extérieur comme un destin ». Carl Gustav Jung

Autant rester conscient de son destin, autant que possible du moins, que de laisser les autres forger notre vie, et vivre nos rêves. Agir en conscience est le départ, même si nous ne maîtrisons pas tous les tenants et aboutissants.

L’accompagnement permet de sortir de sa zone de confort, parfois inconfortable, pour fouler un nouveau chemin d’accomplissement de soi.

Cerveau

Entendre n’est pas écouter !

Ecouter

"Souvent, on entend mal ce qu'on croit bien entendre" .Molière

Peut-être est-ce par manque d’écoute ?

En effet, si l’oreille entend, il arrive que par manque d’attention, d’écoute vraie, le message émis passe sans avoir été capté. Je ne parle pas ici du non-verbal, c’est encore plus subtil !

Différentes formes d’écoute existent :

  • L’écoute active
  • L’écoute passive
  • La reformulation

- Le questionnement (pas l’interrogatoire !)

Nous ne naissons pas avec ces compétences relationnelles, elles s’acquièrent avec de l’entraînement, de l’introspection, des formations, etc.

Une première astuce : une attitude d’accueil du message de l’autre se fait dans le silence.

En hongrois « hallgatni » signifie écouter et se taire à la fois. 

A bon entendeur !

A quoi sert la peur ?

Button help

« A rien ! » Vous allez me dire. Et pourtant…

Elle nous enseigne où ne plus mettre les pieds, où ne pas s’aventurer au prix d’une expérience désagréable. Prenez par exemple : traverser la route sans regarder, sauter dans le vide, etc.

Je vous accorde, ce sont des exemples faciles, sauf que…

Si la peur est un réflexe de survie, elle nous indique de prendre soin de notre besoin de protection.

Oui, et alors ?

C’est essentiel de le savoir dans une relation de manipulation. L’auteur des faits peut parfaitement jouer sur la corde sensible de la peur de l’autre. Fin observateur, il a sait comment va réagir la victime. Il connaît LE bouton où appuyer.

Pour la personne qui subit, réaction n’est pas action…

Là où l’action est possible, se situe dans la conscience de ce qui « se joue ». Avec la prise de recul et la conscience de CE bouton interrupteur de réaction (un point sensible chez soi), plutôt que d’action, il est possible de développer d’autres attitudes tout à fait inattendues et libératrices.

Si vous sentez que la peur vous fait réagir de manière parfois épidermique, prenez du recul, faites-vous aider afin de rependre le dessus sur la situation.

Le besoin de contrôle est un besoin vital, tout dépend de l’intention de l’auteur et de l’intensité de ce besoin qui en fait une énergie destructrice contre cet Autre (la vie d’autrui), ou une énergie constructive et protectrice de la vie.

Dans le second cas, j’accueille ce qui me fait peur, je l’apprivoise, j’essaie de comprendre ce qui me fait peur et j’agis en conscience pour répondre à ce besoin de protection. Prenons un exemple de la vie active : j’arrive à un nouveau poste, je ressens la peur de l’inconnu. Je pourrais fuir et repartir dès le premier jour. En conscience, j’essaie de comprendre ce dont j’ai besoin pour agir sans risques (ou risques calculés) au sein de ce nouveau poste. Je pose des questions, prends les informations et dispositions nécessaires et utiles.

Ce mécanisme est vrai dans tous les domaines de la vie.

Accueillez la peur, elle nous donne des indications.

Réduire les tensions?

Mauvaise idée si on n’en tire pas des enseignements !

 

Qu’en pensez-vous ?

Stress relax

Vous avez des questions ? N'hésitez pas !

Date de dernière mise à jour : 23/11/2025